«Je faisais ce que j'aimais et surtout ce dont j'avais rêvé : faire rire», écrivait Michel Serrault dans une de ses autobiographies. A chacune de ses apparitions publiques, le comédien a toujours présenté le visage du clown doué et talentueux, mais derrière ce masque se cachait une personnalité beaucoup plus complexe.
«Je faisais ce que j'aimais et surtout ce dont j'avais rêvé : faire rire», écrivait Michel Serrault dans une de ses autobiographies. A chacune de ses apparitions publiques, le comédien a toujours présenté le visage du clown doué et talentueux, mais derrière ce masque se cachait une personnalité beaucoup plus complexe.
«Je faisais ce que j'aimais et surtout ce dont j'avais rêvé : faire rire», écrivait Michel Serrault dans une de ses autobiographies. A chacune de ses apparitions publiques, le comédien a toujours présenté le visage du clown doué et talentueux, mais derrière ce masque se cachait une personnalité beaucoup plus complexe. Celle d'un homme marqué à jamais par une blessure profonde qu'il ne voudra presque jamais aborder, le décès accidentel de sa fille Caroline au moment où il triomphait dans «La Cage aux Folles». C'est dans le travail et surtout dans la foi que cet ancien élève du petit séminaire trouvera la force de ne pas sombrer. Grâce aux témoignages de ses proches, parmi lesquels sa soeur, sa fille Nathalie et beaucoup de ses amis, les équipes d'«Un jour, un destin» font revivre des épisodes méconnus de la vie du comédien.