Aux portes du Sahara marocain, le fleuve Drâa et sa civilisation agricole disparaissent ; Tahar El-Ammari travaille à la réhabilitation d'une oasis.
Aux portes du Sahara marocain se noue un drame à deux visages : le fleuve Drâa et sa civilisation agricole disparaissent aujourd'hui près de M'Hamid, dernière ville avant les dunes. Dans le même temps, à 35km de M'Hamid, Tahar El-Ammari travaille d'arrache-pied à la réhabilitation de l'oasis de sa naissance : Ergsmar, le "Petit Paradis", abandonné lors de la sédentarisation des anciens nomades.