Au XVIe siècle, on croyait à l'existence des vampires, ces morts vivants polymorphes et suceurs de sang : un scientifique exhume un cadavre pour en savoir plus.
Un squelette de femme, exhumé en 2009 à Venise, présente tous les signes de la lutte contre les vampires : morte lors de l'épidémie de peste de 1576, elle a été inhumée avec une brique dans la bouche pour qu'elle ne puisse pas venir tourmenter les vivants. Popularisé par le roman «Dracula», de Bram Stocker, à la fin du XIXe siècle, le vampire est l'héritier d'une longue tradition pré-chrétienne qui va des Perses aux Grecs, en passant par les Romains et les Arabes. De nombreuses civilisations croyaient en ces êtres maléfiques, morts vivants capables d'apparaître sous toutes les formes, s'attaquant aux humains et propageant des maladies. Ce documentaire suit ainsi un scientifique italien, qui déterre le cercueil d'un «vampire» pour tenter de percer son secret.