En France, la question de la fin de vie reste tabou. Certains patients, se sachant condamnés, partent vers la Suisse ou la Belgique, où le suicide assisté est accepté. En Suisse, certains de ces établissements font scandale. Qui sont ces «anges de la mort» ? Quels sont les risques de dérives ?
En France, la question de la fin de vie reste tabou. Certains patients, se sachant condamnés, partent vers la Suisse ou la Belgique, où le suicide assisté est accepté. En Suisse, certains de ces établissements font scandale. Qui sont ces «anges de la mort» ? Quels sont les risques de dérives ?
En France, la question de la fin de vie reste tabou. Si la loi Leonetti autorise les patients à demander l'arrêt d'un traitement médical trop lourd, décider de la mort d'autrui est toujours délicat, à la fois pour la famille et les médecins, qui peuvent avoir à répondre de leur acte devant la justice. Certains, se sachant condamnés, partent vers la Suisse ou la Belgique, où le suicide assisté est accepté. Contre plusieurs milliers d'euros, une injection léthale met fin à leurs souffrances. En Suisse, certains de ces établissements font scandale. Qui sont ces «anges de la mort» ? Quels sont les risques de dérives ? Enquête sur une question de société fondamentale.