Chaque semaine plus d'un enfant est mort sous les coups de ses parents en 2017, selon la police. Le constat est alarmant pour les brigades des mineurs, les juges des enfants et l'Aide sociale à l'enfance qui font tout pour protéger ces jeunes victimes. Les équipes de «Zone interdite» ont suivi leur parcours.
Chaque semaine plus d'un enfant est mort sous les coups de ses parents en 2017, selon la police. Le constat est alarmant pour les brigades des mineurs, les juges des enfants et l'Aide sociale à l'enfance qui font tout pour protéger ces jeunes victimes. Les équipes de «Zone interdite» ont suivi leur parcours.
En 2017, plus d'un enfant par semaine est mort sous les coups de ses parents selon la police. Un constat alarmant pour les brigades de mineurs, les juges des enfants et l'Aide sociale à l'enfance qui mettent tout en oeuvre pour les protéger. De la maltraitance, aux carences affectives, au délaissement jusqu'au placement en foyer ou en pouponnière pour les plus jeunes, les équipes de «Zone Interdite» ont suivi le parcours de ces enfants. Le père biologique de la petite Fiona, morte à 5 ans sous les coups du compagnon de sa mère, a également accepté de parler de son combat pour la vérité.