En janvier 2015, Manuel Valls a dénoncé l'existence d'un apartheid territorial, social et ethnique en France. Des zones dans lesquelles les habitants vivraient dans une grande pauvreté, repliés sur leurs communautés. «Zone interdite» a installé ses caméras à Roubaix et aux Mureaux, en banlieue parisienne.
En janvier 2015, Manuel Valls a dénoncé l'existence d'un apartheid territorial, social et ethnique en France. Des zones dans lesquelles les habitants vivraient dans une grande pauvreté, repliés sur leurs communautés. «Zone interdite» a installé ses caméras à Roubaix et aux Mureaux, en banlieue parisienne.
En janvier 2015, Manuel Valls a dénoncé l'existence d'un apartheid territorial, social et ethnique en France. Des zones dans lesquelles les habitants vivraient dans une grande pauvreté, repliés sur leurs communautés. «Zone interdite» a installé ses caméras à Roubaix, où le taux de chômage est l'un des plus forts de France, mais aussi aux Mureaux, en banlieue parisienne. De grands ensembles y ont été créés dans les années 1960 à proximité d'une importante usine automobile. Des quartiers minés par la misère et parfois le trafic, mais auxquels leurs habitants restent farouchement attachés. Se sentant abandonnés par la République, se défiant des institutions, certains créent leur système d'entraide.