A l'instar de Sarah, une Syrienne de 23 ans qui a aidé les réfugiés de Lesbos, ceux qui viennent en aide aux migrants sont souvent décriés : à tort ou à raison ?
Il y a trois ans, Sarah a fui la guerre civile syrienne. Elle voulait s'installer à Berlin, mais elle a échoué à Lesbos, où elle s'est auprès des réfugiés. Aujourd'hui, elle est détenue en Grèce, accusée de favoriser l'immigration clandestine. Son cas, loin d'être isolé, secoue la presse internationale. Les individus qui prêtent assistance aux réfugiés en Méditerranée doivent-ils être considérés comme des sauveteurs ou comme des acteurs qui aident indirectement les passeurs ?