Enquête sur la raison pour laquelle le corps des dictateurs fait presque toujours l'objet d'âpres combats et d'une certaine dévotion, même après leur mort.
Un dictateur ne meurt jamais comme tout le monde. Son corps devient ainsi l'enjeu de luttes de pouvoir qui conduisent à des situations particulières. Des exemples multiples montrent l'incroyable pouvoir que recèle toujours l'enveloppe charnelle des tyrans, même morts. Car la postérité des dictateurs, qu'ils aient été fascistes, communistes ou nationalistes, donne toujours lieu à des événements extrêmes.