Au lendemain de la Première Guerre mondiale, les cafés accueillent les hédonistes du désespoir, désireux d'oublier au plus vite les horreurs du conflit.
L'effroyable carnage de la Grande Guerre avait communiqué aux survivants épouvantés la volonté d'oublier et de vivre follement dans l'instant. Des cafés célèbres accueillaient ces hédonistes du désespoir : le Sélect, la Coupole, le Dôme, la Rotonde ou encore la Closerie des Lilas.