Les monuments aux morts de 1914-1918, érigés dans les années 20 et 30, forment un musée invisible qui a fini par se confondre avec les paysages de France.
Les monuments aux morts de 1914-1918 forment un musée invisible qui a fini par se confondre avec les paysages de France. Une sculpture arrête le regard : ici un soldat monte à l'assaut, ailleurs une jeune femme pleure dans un champ devant un casque. C'est le projet artistique le plus ample peut-être depuis les cathédrales, un grand chantier qui s'étend des années 20 aux années 30.