Une rencontre qui associe la musique des violons des camps de Pologne aux tambours nés de la traite et de l'esclavage. Cette rencontre des tambours de l'esclavage et des violons rescapés de la Shoah contribue à rappeler, à travers le langage universel qu'est la musique, l'unicité du genre humain et la nécessité de combattre, sans relâche, toutes les atteintes aux Droits de l'homme. Le 23 août est le jour consacré par l'UNESCO à cette mémoire, en référence à l'épisode des révoltes d'esclaves parties de Bois Caïman à Saint-Domingue, en 1791. Il n'est, ensuite, jamais inutile de rappeler que le tristement célèbre " Code Noir " commençait, en son Article 1, par cette injonction : " ... enjoignons à tous nos officiers de chasser de nosdites îles tous les juifs qui y ont établi leur résidence ... "
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