Avec six ans d'avance, les parents de Serge Benamou célèbrent leurs noces d'or. Mais Serge et ses copains n'ont pas vraiment le coeur à rire. En effet, la confection se porte mal. Le petit groupe a dû implanter ses locaux à Aubervilliers et déserter le Sentier. En outre, la concurrence chinoise se fait douloureusement sentir. Eddie redoute de devoir vendre son entreprise à un homme d'affaires peu scrupuleux, Simon, de mèche avec un inspecteur des douanes corrompu. Serge entrevoit peut-être une solution qui pourrait lui sauver la mise. Un stock de 800 000 paires de chaussures attend preneur à Shanghaï. Bien qu'Eddie n'en ait pas les moyens, il n'en saisit pas moins cette planche de secours...
Notre critique
Un troisième volet un peu répétitif des aventures de la sympathique bande imaginée par Gérard Bitton et Michel Munz.
Vidéo La vérité si je mens ! 3
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