Le projet The Good, The Bad And The Queen a été construit par Damon Albarn, Paul Simonon, Tony Allen et Simon Tong autour d'une idée : emmener les auditeurs dans un voyage spatio-temporel au coeur du quartier londonien de Portobello Market. Résultat : un album composé de douze titres assemblés comme autant de chapitres d'une même histoire, d'un même roman musical riche des influences variées de chaque membre du groupe, mêlant music-hall traditionnel britannique, punk londonien, afro-beat, reggae, dub, sons des années 50 ou encore britpop. Ce concert est accompagné d'une interview des quatre membres du collectif.