L'homme n'est qu'une partie du vivant, mais il a une fâcheuse tendance à l'oublier. Sans un profond changement de société la surexploitation de la planète va conduire à la disparition de 30% des espèces vivantes à l'horizon 2050. Pour Yvan-Beck, vétérinaire et président de l'asbl Planète-Vie, une des manières d'éviter ce carnage, c'est de donner au vivant un statut juridique.
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L'homme n'est qu'une partie du vivant, mais il a une fâcheuse tendance à l'oublier. Sans un profond changement de société la surexploitation de la planète va conduire à la disparition de 30% des espèces vivantes à l'horizon 2050. Pour Yvan-Beck, vétérinaire et président de l'asbl Planète-Vie, une des manières d'éviter ce carnage, c'est de donner au vivant un statut juridique. Et pour sensibiliser l'opinion publique et les décideurs politiques, il multiplie les actions. Au Château d'Argenteuil où de nombreuses écoles participent à des ateliers et conférences dont l'objectif est de s'immerger dans la maltraitance animale dont l'homme se rend coupable. A Beuzet, visite d'un refuge pour animaux.