Ils sont belges, certains n'avaient même pas 18 ans quand ils ont passé les épreuves, d'autres ont la quarantaine et pourtant ils partagent le même rêve : porter le célèbre képi blanc. Pendant six mois, Jean, Maxime, Aimé-Pierre, Thomas et Roberto partagent leur quotidien de légionnaire. Si certains ont une vocation "pure et dure", d'autres souhaitent se racheter après des périodes de vie faites de délinquance, s'offrir une seconde chance après un début professionnel raté ou, le plus souvent, pour épancher une soif d'aventure. Pour s'engager, nulle exigence de diplôme, un "petit casier judiciaire" est admis et l'anonymat offre la possibilité d'entamer une nouvelle vie, sous un nom et même une nationalité d'emprunt.