Eva Perón est reçue en grande pompe au Prado par Franco et son épouse Carmen Polo, surnommée «la dictatrice du dictateur». Eva tente de composer, avant de se rebiffer. La tension entre les deux femmes va crescendo. Eva ne se prive pas, par exemple, de rappeler à son homologue que l'Argentine vient d'autoriser le vote des femmes, tandis que Franco l'a aboli en arrivant au pouvoir. Dans le même temps, la mère de Juana tente de faire parvenir une lettre à Eva lui demandant d'intercéder auprès de Franco afin de gracier la jeune militante communiste...