L'emprise des mafias sur l'industrie du jeu ne s'est jamais démentie jusqu'à aujourd'hui. C'est pourquoi l'Etat français a toujours entendu strictement réglementer cette activité et prélever sa dîme, pour la confier à un nombre limité d'opérateurs : la Française des jeux, le PMU et les casinos. Mais l'avènement du jeu en ligne a changé la donne et ce quasi-monopole est contesté par l'Europe, au nom des règles de libre-échange de l'Union.