Avec 150 000 nouveaux cas et 60 000 décès par an, les accidents vasculaires cérébraux représentent la troisième cause de mortalité après les cancers et les infarctus du myocarde et la première chez les femmes. En France, des inégalités existent dans la prise en charge de cette urgence médicale. Enquête.
Notre critique
"Enquête de Santé" est une émission informative et pertinente, abordant des sujets de santé cruciaux avec rigueur et clarté. Cependant, son format documentaire suivi d'un débat peut parfois manquer de dynamisme, et les thèmes, bien que variés, peuvent sembler trop spécialisés pour un public généraliste.
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Sommaire
Avec 150 000 nouveaux cas et 60 000 décès par an, les accidents vasculaires cérébraux représentent la troisième cause de mortalité après les cancers et les infarctus du myocarde et la première chez les femmes. Des inégalités existent dans la prise en charge de cette urgence médicale. La France compte actuellement 135 unités neuro-vasculaires spécialisées dans le diagnostic et traitement de ces accidents. Mais seuls 37% des patients victimes d'AVC y sont hospitalisés. De plus, ces UNV sont mal réparties sur le territoire. Actuellement, seulement 10% des victimes d'infarctus cérébral bénéficient d'une thrombolyse permettant de dissoudre un caillot sanguin quand il est administré moins de 4h30 après les premiers symptômes. Problème de filière ? Absence de prévention ? Enquête sur une situation alarmante.
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