Capitale de l'Azerbaïdjan, Bakou, la "Dubaï du Caucase", est la ville de tous les excès où l'argent du pétrole coule à flots. Fermée aux touristes jusqu'au début des années 90, cette ville riche fait la fierté de Ilham Aliyev, président du pays. Même si 90% de la population est musulmane, le pays reste laïc et les femmes y vivent à l'occidentale. Mais derrière les pétro-dollars, il y a un monde caché. A la sortie de Bakou, des clôtures servent de cache-misère aux toits en tôle des bidonvilles. Malgré les revenus pétroliers, beaucoup vivent sous le seuil de pauvreté. Quant aux opposants au régime, ils sont obligés de vivre en exil.