A quelques encablures de la Chine communiste, l'île de Hongkong, ancienne colonie britannique, est un eldorado libéral, qui compte pas moins de 50 milliardaires. Des entrepreneurs du monde entier, français notamment, viennent y faire fortune. La mafia n'est pas absente de la mégapole asiatique.
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A quelques encablures de la Chine communiste, l'île de Hongkong, ancienne colonie britannique, est un eldorado libéral, qui compte pas moins de 50 milliardaires. Des entrepreneurs du monde entier, français notamment, viennent y faire fortune. Des domestiques philippines ou indonésiennes, en quête d'un avenir meilleur, échouent dans des bidonvilles installés au sommet des gratte-ciels. La nuit, dans les quartiers chauds, ce sont les triades qui font régner leur loi. Les Hongkongais craignent aussi que Pékin ne restreigne les libertés en imposant ses dirigeants lors des élections de 2017. Face à cette menace, les étudiants ont lancé la révolte des parapluies. Des milliers d'habitants et de manifestants pro-démocratie sont descendus dans les rues pour manifester, parfois dans la violence.
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