Qui de mieux qu'Arletty elle-même pour revisiter sa vie ? Accompagnée de trois comédiens et d'un musicien, elle joue les maîtresses de cérémonie et embarque les spectateurs chez elle à Courbevoie, puis au music-hall, au théâtre, au cinéma. L'artiste traverse ainsi la Belle Époque, 14-18, les Années folles, en chantant et en dansant. Elle vit un tourbillon de succès, une revanche sur son passé et sa vie modeste, avec un seul guide : la liberté. Lorsque la Seconde Guerre mondiale éclate, l'amour s'invite. Arletty tombe amoureuse d'un officier allemand ayant sa carte au parti nazi. Est-ce acceptable ?