Le 3 mars 2009 au matin, quand Odile Varion signale la disparition de son compagnon à la gendarmerie de Dompierre-sur-Besbre, cela fait trois semaines qu'elle n'a plus de nouvelles de lui. Ses comptes bancaires ne présentent aucun mouvement depuis le 12 février. Les gendarmes publient donc un avis de recherche dans la presse locale. Quelques jours plus tard, un passant signale la voiture du disparu. Mais dans le coffre, une macabre découverte attend les enquêteurs : le corps de Didier Lacote a été coupé en deux, pour être "emballé" dans deux sacs poubelle. C'est l'arme du crime qui aiguille finalement l'enquête. Didier Lacote est mort empoisonné d'une dose massive d'atropine, un médicament qui entre dans la composition de ses gouttes pour les yeux.