Jusqu’à la seconde guerre mondiale, à Chantilly, on parlait l’anglais et les voitures roulaient à gauche les jours de Jockey-Club et de Diane. La forte population locale venue des îles britanniques était à l'origine de cette anglophilie. Après 1945, les Britanniques n’ont eu de cesse de traverser la Manche pour faire apparaître leur nom aux palmarès des Groupes de Chantilly. Céline Maussang revient sur ce passé et suit, depuis l’Irlande et l’Angleterre, la préparation des prétendants à la victoire dans le Prix du Jockey-Club et le Prix de Diane 2007.