Dans cet épisode, Henri Guillemin évoque la tromperie des étiquettes politiques de la France. Progressistes et radicaux usent de slogans dont le sens s'apparente parfois à ladoctrine marxiste, plus pour calmer l'opinion excédée que par volonté de progrès social. Pour Clémenceau, la supercherie est évidente. Le Parti radical, essentiellement composé de banquiers, d'agents de change et d'industriels ne désire pas l'impôt sur le revenu. Clémenceau dénonce la création du parti.