Réalisateur à la créativité foisonnante - un long métrage par an en moyenne depuis 1997 -, François Ozon arbore un beau palmarès de films à succès. Sous des dehors de garçon sage, ce fan de Romy Schneider et de Charles Bronson cache sa sensibilité et un goût pour la subversion. Jérôme Colin invite à découvrir ce cinéaste qui enflamme la critique.
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Réalisateur à la créativité foisonnante - un long métrage par an en moyenne depuis 1997 -, François Ozon arbore un beau palmarès de films à succès. Sous des dehors de garçon sage, ce fan de Romy Schneider et de Charles Bronson cache sa sensibilité et un goût pour la subversion. Jérôme Colin invite à découvrir ce cinéaste qui enflamme la critique. Né à Paris en 1967, il réalisait déjà des courts métrages en Super-8 dans son adolescence. Lors de ses études de cinéma, il suit notamment les cours d'Eric Rhomer, rencontre ses futurs producteurs et découvre Fassbinder qui sera une vraie révélation. Il réalise ensuite une dizaine de courts métrages, sélectionnés et primés dans de nombreux festivals, grâce auxquels il parviendra à se faire une place dans le milieu.