En 2007, en pleine guerre civile, le fantôme de Saddam Hussein, exécuté un an plus tôt pour crimes contre l'humanité, plane sur l'Irak. Le raïs était un dictateur, mais il avait réussi à tenir le peuple irakien composé de sunnites, de chiites, et de minorités ethniques et religieuses. Les Américains, eux, sont dépassés par la violence qui déchire le pays où le terrorisme islamiste prospère. A coups de millions de dollars, ils financent les tribus sunnites pour combattre Al Qaïda et soutenir le nouveau régime. Mais Barack Obama décide le retrait des troupes américaines d'Irak en 2011 et laisse ainsi le champ libre au voisin iranien qui impose son influence. Une seconde guerre civile éclate.