En dépit du pacte de non-agression signé entre l'URSS et le IIIe Reich, Hitler a élaboré un plan d'attaque des territoires soviétiques. Malgré la mobilisation des troupes allemandes le long de la frontière Est, Staline est resté incrédule, ne pensant pas que son allié pourrait passer à l'offensive. Pourtant, en juin 1941, les avions de la Luftwaffe pilonnent au sol l'aviation soviétique. Une retraite dramatique laisse alors une partie du pays aux mains nazies. Mais Hitler, qui prévoit de prendre Moscou avant l'hiver, doit faire marche arrière en octobre, à cent kilomètres du but. La remobilisation de l'armée Rouge offre une résistance sous-estimée par l'état-major allemand.