Paysan dans un village très pauvre du Nord-Est de la Thaïlande, Teerawat a opté pour la riziculture traditionnelle et équitable. Son riz bio «Jasmin» s'exporte très bien. En revanche, nombre de ses voisins dépendent des engrais, pesticides et semences, et sont chroniquement endettés. Un drame lorsque les récoltes sont mauvaises, d'autant que leur production ne peut pas concurrencer le riz américain aux OGM sur le marché mondial.