Au cours de la Seconde Guerre mondiale, pour les Services spéciaux français, Mad a été le pseudonyme d'un de leurs principaux agents : Madeleine Richou. Celle-ci a pu fournir des informations cruciales sur de nombreux projets de Hitler grâce à ses liens avec un officier autrichien, Erwin Lahousen Elder von Vivremont. Les mémoires de cette femme discrète et courageuse ont été retrouvés au fort de Vincennes et déclassifiés.