Madame porte la culotte

Doris Attinger surprend Warren, son mari, dans les bras de la belle Beryl Caighn. Folle de rage, l'épouse bafouée le blesse avec un revolver. Lors du procès qui s'ensuit, Warren est défendu par le substitut Adam Bonner, tandis que Doris a pour avocate Amanda, qui n'est autre que la femme d'Adam. Les Bonner ont beau former, en privé, un couple parfaitement uni, ils ne tardent pas à s'entredéchirer allègrement. En effet, les plaidoiries d'Amanda, ouvertement féministes, ont le don d'irriter son époux. Bientôt, la frontière entre vie professionnelle et vie privée vole en éclats, et les débats judiciaires commencent à dégénérer en scènes de ménage...

Notre critique

L'inimitable griffe de Cukor fait de ce sympathique marivaudage un chef-d'oeuvre d'humour et de subtilité.

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