Le maréchal Wilhelm Keitel, chef du commandement suprême de la Wehrmacht, avance que les soldats allemands se sont comportés de façon honorable malgré les abondantes preuves de leur brutalité. Le lieutenant-colonel Phillipp Von Boeslager, un des conjurés de l'opération Walkyrie, souligne la bravoure des membres de l'Armée rouge. Le colonel SS Wilhelm Paul Blobel, lui, reconnaît le génocide perpétrés par les nazis. Franz Stangl, commandant des camps de Sobibor et de Treblinka, finira par admettre sa culpabilité dans l'exécution de la solution finale. Rudolph Hoess, commandant en chef du camp d'Auschwitz, en a été un des rouages essentiels. Le bourreau passe aux aveux, décrivant le processus industriel qu'il a mis en place pour tuer plus d'un million de Juifs.