Le 25 février 2003, des morceaux de corps sont retrouvés dans des sacs poubelle sur les berges de la Sambre, dans le Nord de la France. La police pense immédiatement à Janine Sopka, veuve de 59 ans qui n'a plus donné signe de vie depuis cinq jours. Les analyses ADN confirment son identité. L'enquête révèle rapidement que Janine Sopka était minée par la solitude. Elle a sombré dans l'alcool et les anti-dépresseurs et a multiplié les amants. Les investigations s'orientent vers les conquêtes de la victime, mais toutes présentent des alibis. Les policiers envisagent alors une autre piste, sordide, celle du dépeceur de Mons. Toutefois, les experts relèvent des différences au niveau des découpes qui excluent cette hypothèse. Reste un espoir aux enquêteurs : le directeur d'une scierie locale aurait entretenu des rapports avec Janine Sopka. L'étude de son cas va très vite déboucher sur sa mise en examen.