Tous les moyens sont bons - rayons X, ultra-violets, infrarouges, animations vidéo - pour traquer la vérité dissimulée des «Three Figures in a Room», une toile du peintre anglais Francis Bacon, réalisée en 1964. Ces portraits étrangement anamorphosés, rétractés et flasques, ne racontent aucune histoire, ne livrent guère de traits identifiables, si bien que quelque chose d'humain, de trop humain, sourd insidieusement de leur décomposition tranquille.