• Jocelyne et Jean-Pierre Saint-Aubert, de paisibles retraités de l'Aude, ne donnent pas signe de vie depuis quinze jours. Inquiet, le fils de Jocelyne alerte les gendarmes le 19 avril 2008. Ceux-ci finissent par entrer dans la maison : ils découvrent une cordelette, des morceaux d'adhésif, une balle et un petit mot tracé d'une main tremblante : «Nous sommes pris en otages». Une course contre la montre débute. : Affaire Saint-Aubert : «les maçons de l'horreur»
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