Dans les années 70, Jean Rochefort connaît aux côtés du réalisateur Yves Robert et du scénariste Jean-Loup Dabadie une décennie flamboyante, lancée par le mythique «Un éléphant ça trompe énormément». A l'opposé, l'adaptation pharaonique de «Don Quichotte» par Terry Gilliam, dont il devait tenir le rôle-titre, fut l'un des tournages avortés les plus catastrophiques de l'histoire du cinéma.
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Dans les années 70, Jean Rochefort connaît aux côtés du réalisateur Yves Robert et du scénariste Jean-Loup Dabadie une décennie flamboyante, lancée par le mythique «Un éléphant ça trompe énormément». A l'opposé, l'adaptation pharaonique de «Don Quichotte» par Terry Gilliam, dont il devait tenir le rôle-titre, fut l'un des tournages avortés les plus catastrophiques de l'histoire du cinéma. Entre l'icône et Patrice Leconte, l'amitié aura été de longue durée : ensemble, ils ont tourné sept films, dont «Le Mari de la coiffeuse» en 1990. Le cinéaste s'en souvient : la moustache de Jean Rochefort ponctuait son sourire doux-amer et rehaussait son regard malicieux, une coquetterie qui faisait partie de son charme.