Le 18 avril 2006, à Castillon-la-Bataille, un homme prévient la gendarmerie que son amie, Suzanne Fragues, est probablement morte et qu'une forte odeur de gaz règne chez elle. Sur les lieux, les enquêteurs découvrent un cadavre qui a été l'objet d'une spectaculaire mise en scène. Face à l'ampleur du travail, les gendarmes font appel à des techniciens en identification criminelle. Les experts en traces et empreintes entrent en scène pour fixer la marque laissée dans une flaque de sang par une semelle de basket. Une fois les premières constatations effectuées et aucune piste ne se dégageant, les gendarmes font appel à l'Institut de recherche criminelle de la gendarmerie nationale (IRCGN). Ils ont besoin de leur aide, notamment pour analyser les mots qui ont été tracés sur le dos de la victime.