"Le bracelet, on peut l'avoir pour n'importe quoi. (...) Certains l'ont pour des faits de roulage, d'autres sont là pour pédophilie, meurtre", explique un agent de la Direction de la surveillance électronique. En Belgique, 20% des personnes privées de liberté sont sous surveillance électronique. Elles sont contrôlées 24h/24, 7j/7. Du placement du bracelet au jour de la libération, cette immersion au sein de la Direction de la surveillance électronique de la Fédération Wallonie-Bruxelles permet de mieux comprendre son fonctionnement.