Le 12 février 1994, alors que la Norvège et ses forces de police ont les yeux rivés sur la cérémonie d'ouverture des JO d'hiver de Lillehammer, deux hommes s'introduisent dans la Galerie nationale d'Oslo et dérobent "Le Cri" d'Edvard Munch. Sur place, les enquêteurs trouvent un message qui les fait bondir : "Merci pour la mauvaise surveillance." Les soupçons se portent immédiatement sur Pål Enger, un ancien footballeur professionnel devenu criminel, déjà auteur d'un vol au musée Munch en 1988. Mais le malfrat a un alibi.