Dans les années et les siècles suivant la disparition des humains, la nature reprend peu à peu ses droits dans la capitale américaine. Les plus prestigieux monuments de Washington tombent en ruine tandis que les animaux des zoos parviennent à s'échapper et prennent possession de la ville. A l'autre bout du pays, les paysages de Los Angeles retrouvent progressivement l'état qui était le leur avant l'urbanisation de cette zone quasi désertique. Seules les plantes indigènes survivent à l'absence d'arrosage.