Y a-t-il quelque chose de pire que de perdre son enfant, martyrisé, étranglé et dont le corps a été abandonné dans une forêt, avant d'être incendié ? Rien, sauf peut-être de vivre, après, avec son meurtrier. Retour sur l'affaire Alexia Daval ou le meurtre de cette jeune femme, tuée par son mari Jonathann, en 2017, dans les environs de Gray-la-Ville, en Haute-Saône. Dans cette affaire, l'ensemble des éléments ont fait de ce cas un symbole des féminicides.