Gaz hilarant : plus drôle du tout Longtemps cantonné aux soirées étudiantes, la consommation de protoxyde d'azote, appelé aussi gaz hilarant, explose. Pour preuve, le nombre d'accidents : moins d'une dizaine de cas recensés en 2018, plus de 450 incidents graves aujourd'hui. Pertes de connaissance, paralysie des membres, voire dans les cas les plus graves, asphyxie, qui peut entraîner la mort. Depuis quelques années, ce gaz, que l'on trouve dans les cartouches pour siphon à chantilly, fait l'objet d'une consommation détournée. Inhalé dans un ballon, il provoque une sensation d'euphorie qui dure moins d'une minute. Pour endiguer le phénomène, depuis juin 2021, la vente est interdite aux mineurs, mais cela semble insuffisant. Des victimes et familles de victimes lancent l'alerte.
Gaz hilarant : plus drôle du tout Longtemps cantonné aux soirées étudiantes, la consommation de protoxyde d'azote, appelé aussi gaz hilarant, explose. Pour preuve, le nombre d'accidents : moins d'une dizaine de cas recensés en 2018, plus de 450 incidents graves aujourd'hui. Pertes de connaissance, paralysie des membres, voire dans les cas les plus graves, asphyxie, qui peut entraîner la mort. Depuis quelques années, ce gaz, que l'on trouve dans les cartouches pour siphon à chantilly, fait l'objet d'une consommation détournée. Inhalé dans un ballon, il provoque une sensation d'euphorie qui dure moins d'une minute. Pour endiguer le phénomène, depuis juin 2021, la vente est interdite aux mineurs, mais cela semble insuffisant. Des victimes et familles de victimes lancent l'alerte.