Cherif fait l'objet d'une plainte pour violence policière. Aucun de ses collègues ne le pense coupable. Pourtant, le comportement du policier change.
Le visage tuméfié, Eugène Razoswky se présente au commissariat pour porter plainte pour coups et blessures. Il affirme que son agresseur n'est autre que le capitaine Kader Cherif. Celui-ci prétend pourtant ne pas être sorti de chez lui au moment de l'agression. Une confrontation entre les deux hommes tourne à l'altercation et l'homme finit par quitter le commissariat, très en colère. Par ailleurs, l'équipe s'occupe d'un homme surpris en train de cambrioler sa propre cave à vins. Il aurait agi de la sorte pour sauver sa femme, retenue en otage par des agresseurs qui lui ont demandé de leur apporter des bouteilles de grande valeur...