L'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon a prospéré durant des décennies sur une seule ressource qui paraissait inépuisable : la morue. Avec la raréfaction de ce poisson, des quotas stricts ont été mis en place. Résultat : l'économie locale s'est effondrée. La population cherche donc à mettre en place des voies alternatives. Avec l'introduction problématique du cerf de Virginie, la biodiversité est menacée de disparition. Note plus optimiste : l'unique colonie de phoques d'Europe se porte bien, et les quotas se révèlent d'ores et déjà efficaces. Cependant, les habitants sont maintenant confrontés aux nuisances que génèrent certains de leurs comportements. La circulation en 4x4 et le recyclage des déchets posent en effet problème.