En Equateur, «la cité de plastique», l'une des mines les plus hautes du monde, attire chaque jour de nombreux hommes et femmes qui risquent leur vie pour y faire fortune. Située à 4000 mètre d'altitude, elle doit son surnom aux toiles de plastiques utilisées par les orpailleurs pour fabriquer leurs tentes. Découvert il y a à peine quelques mois, ce nouveau filon vers la ruée vers l'or a déjà attiré près de trois cents hommes et femmes qui vivent désormais sur une portion de montagne dans l'espoir de réaliser leur rêve.