A 70 ans, le peintre homosexuel Jean-Baptiste Emmerich décède. L'une de ses dernières volontés était d'être inhumé à Limoges, berceau de sa famille. C'est donc là que ses amis et ses amants se retrouvent pour un dernier hommage à l'artiste. Dès le départ en gare d'Austerlitz, et durant tout le trajet, des relations particulières se dévoilent ou se tissent : tandis que le couple de Claire et Jean-Marie s'effiloche, un coup de foudre réunit Louis et Bruno. Alors que tous se rassemblent autour du cercueil, de vieilles rancoeurs resurgissent...
Notre critique
La deuxième partie tourne un peu en rond, avec son lot de psychodrames convenus. L'ensemble tient la route, et l'interprétation est irréprochable. César du meilleur réalisateur pour Chéreau, en 1998.
Vidéo Ceux qui m'aiment prendront le train
Jean-Baptiste Emmerich
Catherine
Claire
François