Conan se recueille sur un autel dédié à la mémoire de Valeria, son amour perdu, lorsqu'il est capturé par les soldats de la reine Taramis. Mis en sa royale présence, il prête une oreille attentive à ses paroles lorsqu'elle lui propose de ressusciter Valeria en échange de quelques menus services...
Notre critique
Malgré son charme kitsch, "Conan the Destroyer" (1984) perd en intensité par rapport à son prédécesseur. L'humour parfois forcé et un scénario simpliste affaiblissent l'épique, mais Schwarzenegger incarne toujours un Conan convaincant dans une aventure fantasy divertissante.