Parfois, la non-responsabilité criminelle pour cause de trouble mental est invoquée, comme dans l'affaire Turcotte, cardiologue accusé d'avoir poignardé ses deux enfants et dont le premier procès s'était conclu par un verdict de non-culpabilité. Les témoignages de psychiatres, de spécialistes en neuroscience, de personnes souffrant de troubles mentaux et de familles concernées alimentent une réflexion sur cette question épineuse.