Vidéo Coûte que coûte
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Laurence, gérante d'un magasin de lingerie dans la région liégeoise, considère le stand de la marque Aubade comme étant son terrain de jeu pour le week-end. Passionnée, elle choisit les pièces par coup de coeur, comme si elle remplissait sa propre garde-robe. Dans cette course à la créativité, des marques voient le jour pour répondre à cette nouvelle demande. Mathilde a lancé «Olly», sa marque écoresponsable. Son slogan est sans équivoque : «La lingerie qui sublime les fesses sans détruire la planète». Avec plus de deux milliards de chiffre d'affaires en 2019, l'industrie des sous-vêtements n'est pas prête de s'essouffler. Ces cinquante dernières années, l'évolution des moeurs a permis l'émancipation des femmes. La lingerie s'est-elle adaptée à cette nouvelle société ? Qui l'achète, à quel prix et pour quelle occasion ?