Afin de savoir précisément comment les véhicules qu'ils commercialisent réagissent lors de chocs violents, les industriels ont l'obligation de les tester. Simulant des accidents plus vrais que nature afin de déterminer si la vie des occupants serait préservée en cas de collision, ils font subir à leurs voitures des crash tests, qui sont filmés et ensuite analysés. Mais les essais effectués au centre de Belchamp pour PSA et au centre de Lardy pour Renault ne suffisent plus. Les associations de consommateurs ont mis en place leurs propres simulations. Elles montrent quelles sont les limites des crash tests.