Sorti en 2003, "Good Bye Lenin!" propulse l'acteur germano-espagnol Daniel Brühl dans la cour des grands. L'acteur passe depuis pour un jeune homme serviable et un peu effacé. Au départ, pourtant, rien ne le prédestinait à cette carrière d'éternel gentil. Fils d'un réalisateur pour la télévision, il se forme sur les plateaux et décroche, à 23 ans, le rôle d'un schizophrène dans un long métrage de Hans Weingartner. Après "Good Bye Lenin!", les réalisateurs se plairont à jouer avec son image angélique. En 2008, Daniel Brühl est contacté par Quentin Tarantino, et Hollywood dévoile alors, avec Inglorious Basterds, un autre visage.